11.17.2010

ENCORE



« Ne pouvez-vous traiter un esprit malade, arracher à la mémoire un chagrin enraciné, effacer les soucis écrits dans le cerveau, et grâce à quelque antidote de doux oubli, soulager la poitrine oppressée du poids périlleux qui pèse sur le coeur? Il faut ici que le malade soit son propre médecin. »
- Shakespeare

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