1.21.2011

TIMORÉE



Salut, c'est moi.

Je sais on a jamais vraiment eu la chance de se parler sérieusement et ... en personne. C'est probablement cette même raison qui m'amène à me demander pourquoi c'est si dur de t'enlever de ma tête. On a grandit pas vrai? Depuis le temps... Tu es devenu beau garçon (en faite du l'as toujours été). Un brin narssicique même si tu l'admettras jamais, philosophe à tes heures, parfois méchant sans vraiment l'être mais surtout... Tu étais l'avenir dans lequel je me voyais. Malgré tout les défauts ou les problèmes, mais dans ma tête, rien d'insurmontables. On aurait fait le tour du monde ensemble. On aurait été les pires ennemis, passionément enragés, s'aimant comme des fous mais trop cons pour se l'avouer... et se retrouver tôt ou tard à faire l'amour en secret. Se tenter, succomber. Garder en vie cette étincelle qui s'embrase chaque fois que nos deux corps se touchent. Et s'haïr. S'haïr chaque jour de se mentir autant.

Être folle amoureuse. Ça me manque. Et aujourd'hui l'histoire qu'on partageait avant est devenu deux. Mon nom n'apparaît plus dans tes pages pas plus que les sentiments, aussi mauvais étaient-ils, que l'on se donnait. Mais c'est une bonne chose pas vrai? Dans 20 ans. 30 ans d'ici. Où est-ce que je serai. Où seras-tu, toi? 

J'aimerais m'enlever de la tête.... mon chez moi, c'est toi, peu importe où nous sommes.

3 commentaires: