2.28.2010

MÉTAPHORE




"Comment t'expliquer; Je me sens un peu comme si j'étais en mer, sur un bâteau, qu'il y aurait eu une tempête gigantesque qui m'aurait fait tanguer de tout bords, tout côtés. Tu vois, la tempête est fini mais moi, ma tête tangue encore. J'ai toujours ce mal de coeur."
[Un aspirant "chevalier de la lumière"]

Parfois, on a beau prôner la transparence, on sait tout de même que chaque vérité occasionne une cicatrice. Comme un clou que l'on planterait dans une clotûre. Le clou, même retiré, laisse toujours une marque. Quelqu'un cher à mes yeux m'a dit pourtant que l'hônneteté ne pouvait jamais être une mauvaise chose, un mauvais choix dans la vie. J'assume alors mes mots, ma parole et je ravale ma culpabilité. J'apprends, encore.



1 commentaire:

  1. Un navigateur, en quête d'apprentissages1 mars 2010 à 15:50

    Quand le calme revient, la question se pose...Cette tempête aurait-elle pu être évité par un changement d'itinéraire ou une réduction de la vitesse de croisière?
    Aussi noble soit les intentions au moment de partir en haute mer, le fait d'avoir a traversé des tempêtes est a toute fin inévitable. Cela fait parti des risques si l'on souhaite vraiment prendre le large. Par le fait même, si l'équipage se montre motivé, la tempête pourra être une opportunité d'apprentissage qui préparera à éviter les prochaines grandes vagues.
    On ne sait souvent pas pour combien de temps on part et comment le voyage se terminera...mais c'est ainsi, si l'ont désire profiter de l'infinie beauté des paysages qu'offre l'aventure.

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